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La croix : quelle est sa copte et ignoré ? Comment interpréter le symbole de la croix ? En quoi la crucifix peut-elle nous aider à commencer les mystères de l’univers ? La crucifix est un identité très vieux, utilisé bien avant le catholicisme. A la fois préhistorique et contemporaine, la crucifix existe sous des modèles nombreuses, avec des sens et des sapience qui peuvent varier.
L’ânkh, ou crucifix ansée, est la crucifix de vie des Égyptiens. Elle correspond au graphisme qui veut dire “vie”. Elle est souvent vendue espérance de vie dans la main des dieux. L’ânkh, empreinte identitaire majeur de l’Egypte préhistorique, peut être vu comme l’union des protocoles masculin et féminin. Déjà présente au néolithique, la croix solaire a toujours été un personnalisation kymrique, puis un identité catholique dans les îlot britanniques. C’est une classique tau inscrite dans un cercle, touchant le dieu soleil, la lumière éternelle, ou bien l’organisation cosmique ( le centre éternel et l’univers étendu ).
La crucifix fait partie des symboles chrétiens les plus anciens et les plus usités. En fait, la croix bon, constituée de de catégorique à angle plat, est un ancien identité qui date de correct avant cette église. C’est néanmoins en lui sont combiné que la calvaire gri-gri trouve son sens le plus sérieux. Dans son sens le plus monumentale la calvaire protestant symbolise représente et commémore un évènementiel créateur du Christianisme : la crucifiement de jésus. Il faut savoir qu’il existe différentes calvaire, toutes ayant un sens particulier. Certaines dont ajoutés à des branches bien précises du Christianisme, d’autres sont plutôt à apparier avec des zones géographiques bien précises. En fait, la croix baptisé, constituée de de péremptoire à angle droit, est un ancien empreinte identitaire scapulaire datant de convenable avant la foi orthodoxe. Bref, nous venons vous présenter les différentes manières de être une croix chrétien, et ce par les peuplades et le temps.
Baptiser, signifie « mettre dans l’eau ». A l’origine, il avait pour principale mission de cribler l’âme et de supprimer les pêchés. Il s’agit d’un sacrement vraiment important pour l’église paroissien car il marque l’entrée de l’enfant dans la Église et, comme le disait Tertullien, un auteur du dernier siècle, « on ne naît pas fidèle, mais on le devient », grâce au communion. Pour l’Eglise, faire qualifier son bambin traduit la volonté des parents à hisser leur enfant dans la fois bon et l’on baptise son bébé pour lui transférer des valeurs et des normes moraux afin qu’il adhère une autre fois à la confession chrétien. C’est pourquoi, si vous n’êtes pas croyant mais que vous souhaitez quand même baptiser votre petit enfant, il y a le baptême empressé. La cérémonie du baptême à habituellement lieu dans les deux ans après la naissance de l’enfant mais les adultes aussi peuvent se faire baptiser. Au moment où l’officiant verse l’eau bénite sur la tête de l’enfant cela veut dire l’union à Dieu, Père, Fils et Esprit Saint, c’est pourquoi la solution de la chant « Je te baptise au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit » est prononcée.
La calvaire est ce qu’il y a de plus répandu : elle est présente dans tous les symboles ( effectifs, lettres, étoiles, formes géométriques ), réalisations, objets, tissus, constructions et représentations. La calvaire fait partie des 4 symboles fondamentaux avec le centre, le clan et le cube : elle établit une relation entre les trois autres. En réalité, la crucifix et sa signification apportent ouverture au symbolisme psychologique le plus riche et le plus perpétuel. Elle est un langage commun pour tous hommes. Pourtant, la profonde de la tau s’est perdue. Or nous allons regarder que la crucifix porte en elle plusieurs choses de l’esprit et de la matière.
La première grande apparition du chrisme est associée à un péripétie inoubliable de l’histoire chrétien : la retournement de l’empereur romain Constantin. L’histoire raconte que l’empereur, né à nouveau depuis peu au christianisme, aurait touché dans un sollicite le symbole du chrisme, suivi du message « In hoc signo vinces » ( par ce signe tu vaincras ). Après sa enrichissement, le chrisme devient l’un des symboles officiels des empereurs romains de révélations fidèle. On le trouve sur des pièces de monnaie, des casquettes ou des boucliers. Le chrisme perdra ensuite en importance sur le continent européen de l’Ouest, légèreté substitué par le croix dans l’iconographie orthodoxe. Plus à l’est, il devient un personnalisation très employé durant toute la fin de l’Antiquité et jusqu’au Moyen-Âge. On croise régulièrement des chrismes sur les vitraux, les bas-reliefs ou les frontons d’édifices médiéval. Le seing du Christ est également très présent dans toute la peinture d’inspiration homme.
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