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Poursuivons notre enseignement d’articles sur les références de la production estimé japonaise. Après les dix séries d’animation japonais utiles et les 8 séries asiatique qu’il faut avoir vus, place aux manga papier. Ce genre asiatique fondateur, duquel les air modernes remontent essentiellement au niveau des années 1950, n’a été fait en France qu’à la fin des années 1980 / départ des années 1990. Depuis, des centaines de séries sont traduites, mais peu de titres ont laissé leur indice dans l’histoire ( voir l’article Le stase du le programme power japonais ). J’ai de ce fait choisi de vous exposer huit légende absurde de manga qui me semblent avoir marqué le genre à tout jamais.En 1946, le soliel levant se reconstruit après les dégâts de la guerre… Une période où les américains diffuse leur fabrique à travers leur domination et influencent énormément les productions de cet étape. En effet, les yonkoma ( ces réputé manga en « 4 cases » ) sont un pied des distingué comics strip-tease : Garfield ( 1987 ) ou encore Snoopy ( 1950 ), en sont des photos. S’ils voient leur vie dans la presse, quelques auteurs en ont fait des mangas : Sazae-San ( 1946 ) de Machiko Hasegawa à peu près partie. Bien qu’humoristique, Sazae-San relate le quotidien d’une famille japonaise passagère après les des festivités de la deuxième Guerre Mondiale, appliquant un contexte culturellement intéressant, pour un conte répartie sur 45 importance.Le yonkoma continuera de séduire avec Mes voisins les Yamada ( 1991 ) de Hisaichi Ishii, propice des années plus tard au restaurant par le studio Ghibli. Des émissions tv puisque Azu Manga Daioh ( 1999 ), K-On ( 2007 ) ou alors Lucky Star ( 1998 ) en sont d’autres petit derniers. Mais dès Sazae-San, les bases sont posées : de la peinture réaliste dans un premier temps, beaucoup d’humour et un étalage sincère. De même, les apartés en fin de volume que une multitude de mangakas utilisent pour donner avec les lecteurs et lectrices sont, eux aussi, des yonkoma. Nul doute que le succès de Sazae-San y est pour beaucoup : effectivement, l’anime de 1969 est traditionnellement en cours de diffusion et compte… plus de 6 000 épisodes.Après la guerre 39-45 et sous l’impulsion de l’occupation étasunienne, l’influence des comic bande dessinée, de courtes bande-dessinées ( bart simpson, Flash Gordon, Garfield… ), se fait goûter. Cette impact nord-américaine dure toute son tome avec le père du manga moderne, enthousiaste louangeur de Walt Disney et considéré parce que le ‘ dieu du manga ‘, Osamu Tezuka. Son héritage : plus de 700 réalisations et une foule de disciple parmi les mangakas actuels. Tezuka réinvente la manière de tancer le manga en rappelant du cinéma et notamment des imposant plans ou des travelling. Il aborde également parfaitement les onomatopées dans les bulles. Parmi ses sculptures prédominantes, révélons Shin-Takarajima, ‘ La nouvelle île au phénomène ‘ et Tetsuwan Atom, ‘ Astro, le petit machine ‘ qu’il adaptera en mobile pour une émission au petit écran en 1963. A partir de cette date, l’adaptation à la télévision de mangas deviendra un véritable de masse. Grand pionnier du monde du manga, Tezuka comptera avec ses héritiers Fujio Akatsuka, Takao Saitō ( Golgo 13 ), Yumiko Igarashi et Kyoko Mizuki ( Candy )…Presque trente saisons après ses lancement, le monde totale ne parvient pas encore à guérir de le potentiel narrative de Dragon Ball. On pourrait à peu près lui céder l’appellation d’inventeur du genre shônen, tant sa résonance est internationale. En France, il convient du premier véritable manga à avoir été qui se trouve à grande échelle ( Akira excepté ) par Glénat dès 1992. Sa renomée se mesure à l’échelle de 2012, où il est encore cinquième des offres. Et si les États-Unis ont découvert Sangoku et ses amis sur le tard, ils ont relancé la machine avec une force hallucinante, arrivant à des dizaines d’adaptations sur consoles, jusqu’à un film, Battle of Gods, en 2013 ! Après dr Slump, la qualité étincelant de Dragon Ball sera si efficient pour son réalisateur, Akira Toriyama, qu’exceptés quelques ‘ one-shots ‘ et du character-design pour le jeu vidéo, il prendra un patrimoine au terme de la caste. Certains reliront ainsi encore et traditionnellement l’arc de ‘ Sangoku petit ‘, fréquemment plus incroyable, réjoui, créateur et relativement débutant.Passons maintenant aux shojos, les mangas féminin. Évidement, il y a en premier lieu les shojos ritournelle qui sont seulement fondé sur la vie sentimentale d’une jouvenceau. Généralement, elle n’est pas la plus reconnue de sa compagnie commerciale pédagogique et est sous le signe de la séduction du plus célèbre. Évidement, elle ne sera pas uniquement sous le signe de la séduction de ce garçon et aussi d’un beau texier abîmer, c’est le fonctionnement du triangle don quichotesque. Mais il existe un autre type de shojo : le magical girl tel sailor moon s’est dévelloppé dans l’hexahone au moyens des animés. Une jeune femme entièrement frivole obtient de fantastiques pouvoirs à l’aide d’un objet magique afin de prendre le dessus sur des ennemis de toute sorte. Cependant le type magical girl n’est pas entièrement indolent du shojo pièce car là aussi, un mec gay est un idée peu connu de la story.
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