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En réalité, nous devons le réseau social moderne à plusieurs petites innovations qui sont intervenues en cours de route et qui ont commencé au centre des années 1990. Certes, Myspace et Facebook ont beaucoup fait pour choisir le réseau social moderne. Le réseau social d’aujourd’hui et le rapport que nous entretenons avec est le fruit d’améliorations dues à une concurrence de plus en plus féroce entre ces « nouveaux » du numérique. Les années passées ont été marquées par un certain nombre de scandales impactant négativement les social medias : violation de la vie privée, exploitation des données à des fins politiques, effet sur la forme mentale des personnes. Oui, vous avez bien entendu, « santé mentale ». En même temps, lorsque vous discutez sur Messenger avec un compagnon, la mention « Vu » indiquant que vous avez vu et lu le message n’est-elle pas la chose la plus irritante et intrusive qui soit ? Je suis sûr qu’un de vos amis vous a déjà sorti : « Et mais pourquoi tu ne réponds pas sur Messenger ? C’est marqué que tu as vu mon message ! ». Rien de tel pour se sentir « prisonnier » du réseau social. L’avenir des réseaux sociaux se doit d’être motivé par des innovations qui nous aident à combattre les atteintes à la personne et les mauvaises routines. Réduire les abus, les fakes news, le spam.
En tête de notre classement, Squeezie et ses dix-sept centaines de milliers d’abonnés sur YouTube, trente-quatre millions ( la moitié de la population Française ) tous social medias confondus. Mais Squeezie, c’est aussi le créateur de sa propre agence d’influenceurs, Bump et le premier influenceur à avoir ( dans quelques mois ) sa statue au Musée Grévin. Et Squeezie, c’est aussi une intervention en plein cours en distanciel de l’ISCPA, l’école partenaire de ffollozz. Aux côtés de Squeezie, la vedette des influenceuses, Léna Situations : 8 centaines de milliers d’abonnés tous réseaux confondus, 400 000 exemplaires proposés de son donne « Toujours plus » qui fut meilleure vente de livres pendant un mois, première influenceuse Européenne invitée au Met Gala. Et Léna mènera une Masterclass spéciale organisée par ffollozz, la première école du marketing d’influence, le 12 juillet prochain. A la troisième place, la boite McFly
Pour toute entreprise qui travaille auprès de client particulier b2c ou professionnel b2b, le marketing web est utilisé dans le cadre du développement de la notoriété sur le net, de l’optimisation des ventes, la publicité sur google ou sur les réseaux sociaux et généralement, l’exploitation des nouveaux canaux d’acquisitions numériques. Si vous faites partie du lot, notez que vous pouvez de plus demander à des influenceurs dans le cadre de votre campagne marketing. Mais qui sont ces fameux influenceurs et leur intervention est-elle vraiment nécessaire ? L’influenceur n’est autre qu’une personne qui jouit d’une forte présence sur le web et plus particulièrement à travers les canaux digitaux. Il a une notoriété sur une thématique bien exacte et se manifeste surtout à travers le réseau social en diffusant son mode de vie, sa passion, ses centres d’intérêt… Ce type d’acteur des languages web est né suite au boom des blogs et des réseaux sociaux enregistré dans les années 2000. Le terme influenceur, bien qu’il ne soit pas encore listé dans le dictionnaire français, est déjà exploité dans l’univers du web. Il désigne une personne capable d’exercer une influence marketing sur les internautes qui le accompagnent quant à leur décision d’achat. Pour cela, de plus en plus de marques font appel à des influenceurs dans le cadre de leurs stratégies de marketing.
il y a peu d’estimations fiables de la taille de des influenceurs. L’une d’entre elles, réalisée en 2020 par le Bureau national des statistiques de Chine, où les influenceurs ont acquis une certaine notoriété plus rapidement qu’en Occident, estimait sa contribution à l’économie à 210 000 000 000 de dollars, soit 1, 4 % du PIB. Comme pour tout ce qui touche au numérique, la pandémie apparait lui avoir donné un coup de fouet, puisque davantage de personnes étaient rivées à leur smartphone pendant une plus grande partie le timing. L’écosystème des influenceurs remet en question les principes traditionnels de la gestion des marques haut de gamme. En plus d’être unidirectionnelles, les campagnes ont eu tendance à être standardisées, immuables et chères. Un groupe exclusif d’actrices claires pourvues de pommettes de la bonne forme était censé signaler la constance, ainsi que l’opulence. Le même sourire sur la même photo de la même star hollywoodienne devait inciter les passants à acheter un produit pendant de nombreuses années. Julia Roberts et Natalie Portman sont chacunes depuis une décennie les visages des senteurs La Vie est Belle de Lancôme et Miss Dior. Les stars comme les marques ne pensent pas combien d’argent change de mains, mais les sommes se chiffrent en millions de dollars. Selon un rapport, le budget dépensé par LVMH pour la globalité de la campagne Miss Dior s’élève à “moins de 100 millions de dollars” l’an dernier.
Un réseau social c’est un système de communication qui permet via le net, de démultiplier ses client potentiel de manière sélective, d’entrer en relation avec des personnes qui vous seraient inconnues ou inaccessibles sans cette plateforme relationnelle, d’échanger des idées, des témoignages, des informations, à travers les « hubs » ( forum de discussions ), de se faire connaître et repérer, de chercher des opportunités notamment d’emploi ou d’affaires… Ils permettent de renouer des prospects, efficaces professionnellement, avec d’anciennes relations ( d’études, de stages, de milieux professionnels, d’amis ) mais également d’enrichir son carnet d’adresses. Ce réseau vous permet d’accéder aux 75 % des offres du « marché caché » de l’emploi et d’accéder à des informations que vous n’auriez pas pu avoir ou à des personnes que vous n’auriez pas pu joindre sans cet outil. Ils peuvent aussi servir à se renseigner sur un métier, une entreprise, son futur hiérarchique afin de bien préparer son entretien professionnel. D’ailleurs l’exercice du réseautage est une véritable pratique d’intelligence économique qu’utilisent de plus en plus les recruteurs et « chasseurs de tête » mais aussi directement les services recrutement des entreprises. il correspond de être clair et complet sur son profil et sur ses objectifs et les tenir à jour pour que son réseau soit efficace, il faut l’animer et discuter pour le faire vivre, donner des infos utiles, vrais, intéressantes pour en recevoir d’identiques, faire le choix de la qualité des contacts plutôt que de la quantité ( consommatrice de temps elle peut nuire « gravement » à l’efficacité ), sur un réseau professionnel ne pas oublier de rester professionnel, faire de la virtualité des partenariats un moyen pour entrer dans la réalité des rencontres y compris en utilisant le ipad ( mobile bien entendu ), ne pas vouloir être présent sur tous les sites mais cibler selon ses objectifs, et pour terminer, ne pas oublier le bon vieux idée de politesse ( remercier, encourager, féliciter… ) …
1. 7 milliard de personnes emploient au minimum un réseau social dans le monde, dont 31 centaines de milliers en France. Pour les sociétés, les réseaux sociaux sont une superbe opportunité pour se rendre visible du bout de la jusqu’au bout du monde. Ils permettent de gagner de nouveaux clients, de fidéliser, de communiquer autrement avec sa communauté ou tout simplement de gagner des données. Bien utilisé, le retour sur investissement d’un réseau social est exponentiel ; d’autant que leurs campagnes publicitaires ne coûtent pas à coup sûr très cher. Mal employés, par contre, l’effet peut être quasi nul, voire même ou vraiment en cas de bad buzz, ruinant la renommée d’une entreprise en moins de 10 secondes. En bref, les social medias servent plus à raconter son entreprise qu’à vendre en direct ; à traduire ses valeurs, sa vision… Le story telling, le suspense, l’effet teaser…Ces modes de communication aident à réaliser une communauté de utilisateurs adeptes de vos valeurs, de distinguer les ambassadeurs les plus aptes à les donner, mais aussi à communiquer autrement avec votre clientèle, non pas en format informatif et descendant, mais en format communautaire, basé sur l’échange et la prise en compte instantanée des suggestions et critiques pour pouvoir améliorer votre offre. Les réseaux sociaux servent à ça, car ils sont construits en ce sens ; sur un modèle de communication communautaire.
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